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 Un saint pour les déshérités

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4 participants
AuteurMessage
xolotl

xolotl


Nombre de messages : 52
Date d'inscription : 30/06/2006

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MessageSujet: Un saint pour les déshérités   Un saint pour les déshérités EmptyJeu 14 Juin - 4:41

Bon voilà suite à une discussion avec Eddo à 2 heures du mat, nous avons décider d'écrire l'hagiographie de Monseigenur Eckris dont le perso IG est en train de mourir et qui n'a même pas eu la décence de faire un petit RP pour nous dire au revoir. Je vous fournis ici un premier jet mais l'idée et que chacun puisse l'enrichir avant que je la présente à l'EA Twisted Evil Alors allez y, rassemblez vos souvenirs, enjolivez les, inventez des miracles, lâchez vous!!!! lol!


Citation :
Eckris, Saint protecteur des prostitués et des alcooliques

Eckris est né vers l'an 1430 de l'ère Aristotélicienne de la Fondationde parents modeste dans le Royaume de Russie. Son père était un ivrogne qui aimait raconter qu’il avait été un grand seigneur à la cour du Tsar et sa mère une femme de modeste condition qui tenta tant bien que mal de nourrir son unique enfant et de l’élever dans la foi Aristotélicienne. Mais elle mourut au cours d’un hiver très rude et le père d’Eckris décida de s’enrôler dans l’armée impériale et emmena son fils avec lui. Ils atterrirent en Provence ou des nonnes réussir à convaincre le mercenaire alcoolique de laisser son fils dans leur orphelinat. Il disparu peu après et ne donna jamais plus de nouvelles. Dès son plus jeune âge, Eckris a fait preuve d'une grande intelligence et d'une très vive perspicacité.... Il voulait jouer un rôle au sein des Royaumes d'Europe.

Vie à l’orphelinat

Le jeune Eckris avait hérité d’un certain charme slave qui le rendait irrésistible aux yeux des nonnes de l’orphelinat. Ces nonnes étaient toutes d’anciennes prostituées qui avaient choisit de prendre le voile plutôt que d’encourir une peine de prison. Elles le chouchoutaient sans arrêt et lui donnait en cachette de la nourriture pour gagner ses faveurs. Doté d’un grand cœur, Eckris partageait ses offrandes avec tous les enfants de son dortoir et il acquit rapidement une grande notoriété. En grandissant, l’attention des sœurs se faisait plus pressante et Eckris s’adonna avec générosité aux délices de la chair afin de ne pas frustrer les pauvres nonnes. Il avait également hérité de son père un solide appétit et un goût immodéré pour l’alcool et les substances illicites en générale qui lui était fournit par l’herboriste de l’orphelinat et qu’il payait généreusement en nature en retour. L’arrivée d’une nouvelle mère supérieure à la tête de la congrégation allait changer sa vie. Elle reprit en main les mœurs de l’orphelinat et enseigna au jeune homme les principes des vertus aristotéliciennes. Eckris afin de s’éloigner des tentations charnelles s’enferma dans une cellule et se plongea dans la lecture du Livre des Vertus pendant une année entière. A sa sortie il était transformé et décida de rejoindre la Sainte Eglise d’Aristote.

Vie religieuse

En septembre 1453, il fut ordonné prêtre à la Rochelle et entra un mois plus tard comme Gross Hospittler (grand prieur) dans l'Ordre teutonique. Il est alors envoyé à Toulon comme curé mais sa renommée parvient jusqu’à la Curie qui le nomme Archevêque d’Aix, puis Archevêque métropolitain d’Arles. Toujours sur les routes, il s’emploi à faire vivre les valeurs de l’Eglise Aristotélicienne dans les recoins les plus sordides de la Provence, n’hésitant pas à se mêler aux plus déshérités. On raconte qu’il fréquente ainsi les toutes les tavernes de Provence et qu’il n’hésite pas à donner de sa personne pour convaincre les aristotéliciennes récalcitrantes des bienfaits des vertus de notre Sainte Eglise. En Mai 1453, il est nommé Hochmeister ad interim de l'Ordre Teutonique puis un mois plus tard Cardinal Inquisiteur de l'Eglise Aristotélicienne. Il conduisit également les troupes inquisitoriales en compagnie du Cardinal PaterSanGiovanni jusqu’en Normandie et participa à la bataille de Fécamp. Générosité, courage, abnégation, prodigalité, les mots ne manque pas pour définir le jeune Cardinal qui reste dans toutes les mémoires. Avec PaterSanGiovanni, ils furent des figures incontournables de l’Eglise Aristotélicienne en Provence et contribuèrent à faire de ce comté le plus acharné défenseur de notre Foi.

Symboles associés :

Relique : Ses braies, retrouvée dans la malle d’une jeune femme de la noblesse dont il fut longtemps le confesseur et sa blague à tabac pleine d’herbes de Provence fournit par une herboriste de Forcalquier

Eléments lié : ?

Citations :
?
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Eddo




Nombre de messages : 13
Date d'inscription : 16/08/2006

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MessageSujet: Re: Un saint pour les déshérités   Un saint pour les déshérités EmptyJeu 14 Juin - 10:45

Citation :
Eléments lié :
vessie de porc ou boyaux animales
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DenAdel

DenAdel


Nombre de messages : 8
Date d'inscription : 30/06/2006

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MessageSujet: Re: Un saint pour les déshérités   Un saint pour les déshérités EmptyJeu 14 Juin - 10:59

Mais n'importe quoi vous deux... Mais ca reste énorme... Eckris risque d'apprécier mdr !

Vous avez parlé de ses frasques avec les nonnes, mais pas avec les curés...
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Mirleva




Nombre de messages : 27
Date d'inscription : 29/06/2006

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MessageSujet: Re: Un saint pour les déshérités   Un saint pour les déshérités EmptyMer 27 Juin - 17:15

Arf bon j'esperai un peu plus de réponses quand meme, Eckris va bientot mourir alors ca serait bien de se bouger sinon je vais etre obliger de fournir l'officielle qui est bcp moins drole jugez plutot

Citation :
l’Histoire d’Eckris Vladimirovitch Viacheslav de Smolensk débuta en Russie, dans la Principauté de Smolensk 1421 ans après l’arrivée du Prophète Christos.
Mon père se prénommait Vladimir, il était le Prince Héritier de Smolesk étant l’aîné des 5 fils et des 6 filles du Prince Régnant Stanislas III, le Sage.

La Cour de Smolensk était à cette période un haut lieu de culture dans toute la Russie et l’Europe de l’Est. Toutefois, la famille régnante contrairement à la grande majorité de la population et des nobles russes étaient Aristotéliciens ; ce qui ne manquaient pas malgré la charité et la tolérance des Viacheslavs de faire des envieux parmi les nobles orthodoxes Russes mais aussi parmi les notables locaux qui considéraient les Viacheslav comme des traîtres à la Nation Russe, à leur traditionnelle Foy et des parvenus même si ces derniers étaient maître de Smolensk depuis déjà plus d’un siècle.

A l’âge de 8 huit ans, alors que j’étais était élevé au sein de la cour du Prince pour pouvoir succéder un jour à mon Père dont on annonçait la venue sur le Trône de Smolensk dans les mois à venir, je passais de nombreuses heures à étudier avec des percepteurs d’arithmétiques, de langues ainsi que par des maistres d’armes réputés.

Mon père entretenait de très bonnes relations avec le Tsar Russe pour avoir le même âge que lui et l’avoir côtoyer étant jeune à la Cour du Tsar. Néanmoins quand ce dernier remplaça son père à la tête « de la Russie » mon père le vit de moins en moins. Même si ils s’échangeaient encore des lettres, le jeune Tsar étant donné ces nouvelles charges et les remontrances de ces conseillers quant à cette amitié prit ses distances.

C’est alors que vint une trahison au sein même de ma famille. Mon Grand Oncle, le frère puîné du Prince Stanislas III profita de l’Etat de santé de mon grand père pour lui faire signer un nouveau testament le désignant comme Prince Héritier en dépit de la loi de primogéniture et des traditions de la principauté. Par le plus grand des hasards, le lendemain alors que mon père et moi étions à la cour du Tzar, mon grand père fut retrouvé mort dans sa chambre, poignardé pendant son sommeil.
On ne put retrouver les deux gardes qui gardaient l’entrée de la chambre, mais étant donné ce testament qui devint alors public tout le monde soupçonna le Grand Oncle, Sokolov.

Informé de cette tragédie, mon père et moi rentrâmes à Smolensk d’urgence… on ne put rentrer au château familiale. Le nouveau Premier Ministre du nouveau Prince Sokolov II de Smolesk, nous fit comprendre que nous étions « persona non grata » à Smolensk.
Nous fûmes de prime surpris par tous ces événements qui nous dépassait, et devant ce complot machiavélique mais nous rejoignîmes alors des amis, non loin de notre Principauté.
Mon père alla voir un par un, tous ces amis Nobles, tous les dignitaires de Smolensk, et envoya lettres sur lettres au Tzar. Peut répondirent à l’appel. Son ami le Tzar ne répondit pas, mes parents se demandèrent même si il avait reçu les lettres…. Le vent avait tourné pour mon père et parmi ces amis, cela s’en ressentait au plus haut point.
Quelques mois plus tard, alors que la Haute cour de Justice Russe se déclarait incompétente pour statuer du sort de la principauté de Smolensk, mon père prit sur lui de réunir une armée composée de troupes de quelques amis princes, de quelques soutiens du Saint Empire, d’un petit contingent teutonique avec qui mon grand père avait d’excellentes relations, mais également de ces partisans à Smolensk… Cette même armée n’était pas très homogène, son nombre n’était pas outre mesure important, mais la plupart avaient déjà combattu ; Les frères de mon père encore présent à Smolensk, ainsi que deux de mes frères plus âgés prirent part au combat qui les opposait à l’armée de Mon Grand Oncle Sokolov ; Celle-ci était quant à elle former d’une grande partie de conscrits et des nobles locaux partisans de mon Grand Oncle, mais aussi soutenu par l’Eglise Orthodoxe dont il faisait parti.

Fin de la bio que j’avais commencé.


Suite de manière rapide :

La bataille fut perdue. Nous fumes obliger de nous exiler. La famille fut totalement dispersée : Certains restèrent prêts de la cour du Tsar, d’autres se réfugièrent chez nos alliés dans le Saint Empire ainsi qu’en Prusse chez les Teutoniques.

Nous, nous fîmes route premièrement à la cour du Roy de Hongrie qui nous avait invité. Puis devant l’ambiance du pays nous reprîmes la route très rapidement, et nous nous arrêtèrent dans le Wurtemberg et en Bavière. Ma mère était alors enceinte… elle mourut dans un village bavarois pendant son accouchement avec l’enfant.
Il ne restait plus que mon père et moi. Les guerres de successions locales, nous poussâmes à repartir, toujours plus vers l’ouest.

Mon père entendit parler du Poitou, une terre Françoise au temps clément, en paix avec ses voisins et qui plus est, riche.
Nous nous y rendîmes. Mon père, par la Grâce de Dieu savait le français contrairement à moi. Une fois arrivée ce fut la première chose qu’il fit ; il m’enseigna lui-même le français, et la grammaire de cette langue qui était ma foi fort complexe.
Face à notre trou de « trésorerie », mon père dut travailler comme truchement et conseiller politique pour la mairie de La Rochelle, ville maritime commerçante et fortifier où nous nous étions installé dans une petite maison, sans même un jardin.
J’y grandis mais je devins un peu moins discipliné. Pendant que mon père était absent au lieu d’étudier comme il me le mandait, je m’amusais à jouer les bandits de grands chemins et avec des amis nous montâmes une petite troupe de tire-laine. Grâce à mon éducation combattante à la cour j’avais acquis de nombreux réflexes, connaissait des prises au corps à corps et me défendait plus qu’honorablement à l’épée et au bâton.

Un jour alors que nous avions volé une bourse bien garnie d’une jeune bourgeoise, une dizaine d’archers du prévôt nous retrouvèrent dans une petite cabane qui nous servait de repère pour nos larcins. Découvert, nous ne nous rendîmes pas et nous battîmes même rudement. Avec mon épée, ma Shiavona je désarma sans mal trois miliciens néanmoins le lieutenant de la troupe me donna beaucoup plus de fil à retordre.
Il portait un petit chapeau bleu caractéristique des lieutenants de la prévôté, faisait trois têtes de plus que moi et portait un petit plastron en cuir sur le pectoral. Il manquât par trois fois à me désarmer et une fois de me transpercer le flanc, j’utilisa alors la botte de mon père… une botte que son père lui avait lui-même enseigné.
Alors que je croisais le fer et que nous étions serré l’un contre l’autre, je fis un petit moulinet pour ramener nos épées vers le bas, mon autre main se plaça au niveau de sa nuque et de son épaule… il fut obliger de se baisser pour me faire lâcher prise se dégager puis tenta de me plaquer au sol. Je rompis alors le fer et roula en quelques sortes par-dessus son dos pour arriver derrière lui et en laissant traîner mon épée vers le bas juste après être passé sur lui, lui trancha le bas des mollets, les tendons plus précisément. Le Lieutenant s’écroula immédiatement en gémissant. Mon père m’avait fait promettre de ne jamais utiliser cette botte à moins que ma vie soit en péril et de ne jamais chercher le combat. Je l’avais trahi. Je lâchai mon épée et bientôt d’autres archers du prévôt arrivèrent, nous emmenant tous à la caserne où mon père vint me chercher en me sermonnant puis me frappant à la maison. Il m’évita de peu le bagne grâce à ses relations avec certains dignitaires du comté. Je ne répondis rien et ne me défendis pas. Mon paternel décida alors de m’envoyer auprès du curé de la paroisse Néopatch pour finir mon éducation et apprendre certains enseignements.

Toutefois durant ce même hiver 1437 qui fut très rude, mon père travaillait toujours plus puis tomba malade de la fièvre et en mourut.
Je fus alors à l’âge de 16 ans, totalement orphelin mais les sœurs et le curé de l’Eglise de La Rochelle me recueillerent. J’y appris à trouver l’amour en Notre Seigneur ainsi que les valeurs de notre Sainte Eglise Aristotélicienne comme le voulait mon père avant de mourir.
Je parti un an après au séminaire du Prieuré de Morancourt où j’effectua une véritable méditation et remise en question spirituelle. A mon retour à La Rochelle, j’appris que mon curé Neopatch entre temps nommé Evêque de Poitiers était décédé lors de mon absence. J’en fus véritablement navré et peiné.
Devant l’absence de messe prononcé et le désarroi dans cette paroisse, je décidai d’intervenir, de les aider en accélérant au possible ma formation et en prononçant des vœux majeurs devant un Cardinal qui m’ordonna alors curé de La Rochelle après deux mois d’intérim. Suivant l’Hochmeister Benedictus qui était de passage dans ma paroisse et qui me convint de son projet, je devins ensuite Grand Prieur de l’Ordre Teutonique.

Je restai deux autres mois à La Rochelle qui fut la ville qui m’a laissé le plus d’agréablse souvenirs. L’ambiance y était chaleureuse, les soirées d’amis en Taverne où je prêchais la Vraie Foi me manque encore maintenant… Néanmoins cette ville connue deux grands exodes vers des duchés Germaniques emmenant avec elles des « moteurs » de notre cité. Après avoir remis à plusieurs fois mon départ, j’arrivai à me décider à couper le cordon et à partir en Provence, terre du Saint Empereur nouvellement reliée par de grandes routes, afin d’apporter au mieux la bonne Parole.

Arrivée en terre Provençale, plus précisément à Toulon je décida de faire rénover l’Eglise en lui donnant en plus un saint patron. Je m’y installa et y effectua mon rôle spirituel en essayant de sensibiliser le plus possible cette population à la Foy de Notre Seigneur.
Au mois de Novembre, après avoir posé ma candidature auprès du Sacré-Collége je fus nommé Archevêque de Provence. J’y exerça mes fonctions jusqu’en Janvier, période pendant laquelle je m’attacha à la rédaction d’un Concordat, à tisser des liens avec le pouvoir temporel ainsi qu’à trouver des curés et ériger des Eglises pour les paroisses relevant de mon Archidiocèse, tout en effectuant les baptêmes et mariages dévolus à un des seuls religieux de Provence.
En Janvier, Sa Sainteté NicolasV décéda et avec l’arrivée de notre Saint Père Eugène, le temps des réformes commença et l’ancien Archidiocèse de Provence fut coupé en deux archevêchés Métropolitains.
Je fus confirmer au sein de l’Archevêché Métropolitain d’Aix et pendant la vacance de l’Archevêché d’Arles essaya d’assurer dans ce dernier une présence spirituelle minimum.
Là encore, suite à de nombreux départ je m’attela à repérer des vocations et à fidéliser les Aristotéliciens de Provence tout en restant présent auprès du Comte et de son conseil dont je participais au conseil depuis la rédaction du Concordat.
C’est alors que j’étais encore Archevêque de Provence qu’un jeune aristotélicien, le cœur et l’âme emplis de bons sentiments arriva sur mes terres avec des recommandations de feu Frère Norv. Devant le manque de vocation en mon diocèse je décida de lui accorder directement la direction de Brignoles qui n’avait connu jusque là, de véritable curé. Je remarqua vite sa foi ainsi que ses aptitudes et décida de l’impliquer dans mes affaires. Il me fut d’un véritable secours dans cette province où je n’avais à l’époque de véritables appuis venant de mes curés.
Il fut nommé ensuite, comme son talent m’y laissait pensé, Archevêque Métropolitain d’Arles. Difficilement il quitta sa paroisse de Brignoles, mais une fois à Arles nous pûmes mettre en commun toutes nos facultés et assurer une meilleure présence en Provence. Nous décidâmes d’un accord commun de fonder une Cathédrale (forum) unique à nos deux provinces réunies qui sont pour l’essentiel dans un même comté…




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